Mustapha Boujemaoui est marocain
mais aussi citoyen du monde.
Un monde dont il s’inspire avant de traduire ses émotions,
ses vécus, ses philosophies en peinture.
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| ©Mustapha Boujemaoui |
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| ©Mustapha Boujemaoui |
Il a les yeux rieurs, Mustapha Boujmaoui.
Et
la moustache qui ponctue son visage…
C’est à Ahfir qu’il naît en 1952. Le
Maroc, sa terre natale, il y revient après avoir voyagé, appris, rencontré. Diplômé
d’abord de l’école nationale des Beaux Arts de Tétouan, c’est ensuite à l’école
Royale des Beaux Arts de Bruxelles, puis à l’école nationale supérieure des
Beaux Arts de Paris qu’il fait un passage.
A 30 ans, il s’installe à nouveau au Maroc et
enseigne son art,
sa passion à Oujda puis à Rabat ensuite.
Reconnu, respecté,
il obtient en 1995 le prix Unesco
pour la promotion des arts. Un titre qui lui
va bien…
lui qui dédie sa vie à la peinture et à son enseignement.
Son univers ? Celui des objets
spécifiques, désuets parfois :
des journaux, des toiles sans châssis, des
bagages, des galettes de papier mâché, des cartes de voyage. Tout est toujours
usuel. Sentimental la plupart du temps…
tout s’intègre dans un environnement
culturel et esthétique.
Tout se mue en philosophie de l’art.
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| ©Mustapha Boujemaoui |
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| ©Mustapha Boujemaoui |
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