28.9.13

LIRE... RETOUR À JAJOUKA de Gaston Carré

 
“Le 3 juillet 1969 disparaissait Brian Jones, le fondateur des Rolling Stones. La légende du rock a largement consigné le parcours de sa plus flamboyante icône, des premiers pas aux côtés de Mick Jagger à sa fin tragique dans une piscine du Sussex. On connaît moins cependant l'un des derniers épisodes de la vie de Jones, quand il se rendit au Maroc pour enregistrer les flûtes sacrées des Master musicians of Jajouka, une dynastie de musiciens qui seraient des descendants de la secte assassine des Haschischins.

 J'ai retrouvé les traces du Rolling Stone à Jajouka, un énigmatique village au sud de Tanger, bled de moins de mille habitants où pourtant se croisent la modernité et la mythologie, la musique et la littérature, où dans l'orbe de Brian Jones on retrouve William Burroughs et Paul Bowles, Andy Warhol et John Lennon, le dieu Pan et la déesse Astarté, et où une dynastie de montagnards est poussée dans le cercle vicieux de «poètes terroristes».

Jones lui-même joua de la flûte de Pan et, tel maître Hamelin, attira plusieurs générations dans les eaux troubles en quoi il finit par se noyer. Ce livre évoque les derniers jours du Rolling Stone, explore la fascination qu'aujourd'hui encore il continue d'exercer et ses effets pervers pour un village maghrébin dont la tradition séculaire est bousculée par sa collision avec le temps présent.

J'invite à un périple dans le sillage d'une idole. On pourra, chemin faisant, se livrer à une réflexion sur notre rapport au passé, sur la nostalgie et les mythes dont elle se nourrit. On pourra méditer la conviction mahométane selon laquelle «idoles et pierres dressées sont des abominations créées par Satan», et s'aviser qu'il faut déboulonner nos statues intimes quand elles obstruent la vue sur le présent et l'avenir.

Nous fûmes nombreux à festoyer au «Beggars Banquet» des Rolling Stones, lupercales autour de Brian Jones en réincarnation d'une divinité à cornes. La célébration désormais est terminée, l'idole est calcinée et j'ai dissipé ses cendres à Jajouka.”


Extrait "Retour à Jajouka" de Gaston Carré



Biographie de l'auteur

Spécialisé dans l'étude des pharmaco-dépendances et passionné de culture rock, ce qui n'est pas forcément incompatible, l'ex-psychologue Gaston Carré se consacre depuis 1989 au journalisme et à l'écriture. Installé au Luxembourg, il y dirige le service culturel du Luxemburger Wort, principal quotidien d'informations générales au Grand-Duché. Lauréat de plusieurs prix littéraires, il revisite dans Retour à Jajouka une page méconnue de l'histoire des Stones. Sa plume érudite et poétique nous emmène au croisement du récit de voyage, de l'essai et de la biographie.


(Source : www/amazon.fr)

1JOUR1PHOTO*28.09.13

photo © Simon Waterhouse

26.9.13

REGARD... Marrakech désuet par Jasmine Vanhevel



Marrakech, c'est aussi un air d'antan ...

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

1JOUR1PHOTO*26.09.13

photo © Pascale Malilo

25.9.13

1JOUR1PHOTO*25.09.13

Linge de maison par V.Barkowski ©Dar Kawa

24.9.13

LE LINGE DE LIT SE RACONTE....


A Dar Kawa,
 nous attachons une attention particulière 
au linge de maison.
Ne passe-t-on pas, en moyenne
un tiers de notre vie dans notre lit... ?

Nous l'aimons : 
 raffiné, varié, intemporel, original, de qualité, ...


©Dar Kawa

Dans la junior suite Olmassi 
le linge de lit a été dessiné par Valérie Barkowski.
Ici, des textes brodés écrits en arabe.


©Dar Kawa

Sur le drap :
"Ne demandes jamais ton chemin à quelqu'un 
qui le connaît car tu ne pourras plus t'égarer." 


©Dar Kawa
Sur les taies, tout simplement :
"Bonne nuit".

©Dar Kawa

1JOUR1PHOTO*24.09.13

photo © Taveling Solemates

21.9.13

SHOPPING... ARCHIVES CHEZ 33 RUE MAJORELLE


Comme vous le savez, peut-être, déjà, 
la marque A R C H I V E S 
a son petit corner chez 33 Rue Majorelle 
à Marrakech. 
Sachez que, presque, tous les produits signés A R C H I V E S 
sont édités en petites quantités ou en pièces uniques. 

©Dar Kawa

 Alors… Quand vous passez chez 33 Rue Majorelle, et qu'un produit vous plaît, n'attendez pas pour l'acheter 
car il n'y en aura peut-être plus d'autres… 


©Dar Kawa

De nouveaux produits sont livrés chaque mois. 
Winter shopping
 is now.

©Dar Kawa

©Dar Kawa

1JOUR1PHOTO*21.09.13

herbes fraîches ©Dar Kawa

19.9.13

ON THE ROAD ... CASABLANCA


Chaque ville a plusieurs visages...
ici C A S A B L A N C A
by Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel
photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

photo © Jasmine Vanhevel

1JOUR1PHOTO*19.09.13

photo © Kolesnikov Karpov

17.9.13

TABLE DE FIN D'ÉTÉ À DAR KAWA

photo ©Dar Kawa

photo ©Dar Kawa

photo ©Dar Kawa

photo ©Dar Kawa


1JOUR1PHOTO*17.09.13

 Breakfast ©Dar Kawa

14.9.13

SHOPPING ... LE VERRE BELDI BLEU


En général, 
les verres dits "beldi" sont aquarmarine. 
Mais parfois, des nouvelles couleurs surgissent, 
comme ici, 
le bleu majorelle.


Photo : Tania Panova

Photo : Tania Panova

Photo : Tania Panova
Quand les verres bleu majorelle
 sont disponibles,
 on les trouve un peu partout 
dans la médina de Marrakech.

Alors, si vous les aimez...
Achetez-les tout de suite.


1JOUR1PHOTO*14.09.13

photo © Marieke Maei

13.9.13

1JOUR1PHOTO*13.09.13

Suspension Jeeves Innermost © Jasmine Vanhevel

12.9.13

REGARD... INGRID RASMUSSEN

photo © Ingrid Rasmussen

photo © Ingrid Rasmussen

photo © Ingrid Rasmussen