31.10.13

REGARD... Jacques Majorelle



Marrakech et ses femmes au pinceau 

Marrakech…une cité adoptive pour Jacques Majorelle. Bien plus, un amour puissant. Lorsque le peintre visite la ville en 1917, il est transporté et son art avec lui.
Ses tableaux prennent alors les couleurs de l’humain et du soleil. Les jardins de Majorelle… une cathédrale de formes et de couleurs, un espace impressionniste. C’est connu.


©Jacques Majorelle

Mais c’était aussi le havre d’un peintre amoureux. Amoureux d’une ville et de tout ce qu’elle comporte. Là, c’est moins connu. Jacques Majorelle est français et il naît en 1886. Son père ? Il n’est autre que le célèbre ébéniste Louis Majorelle, cofondateur de l’école de Nancy. Elevé dans un milieu artistique inspiré par l’Art Nouveau, Jacques se dirige naturellement vers la peinture… Attiré par la lumière, il voyage beaucoup à sa recherche en Espagne, en Italie mais c’est en Egypte et puis au Maroc qu’il découvre toute sa puissance… A Marrakech plus exactement où il va s’établir.

©Jacques Majorelle
Une ville oasis dont les couleurs et les « souks éclaboussant de vie féconde et heureuse » l’envoûtent… tout comme les femmes du pays et leurs corps nus qu’il peint avec puissance. Des corps qui s’abandonnent… des corps noirs surtout. A Marrakech, Jacques Majorelle se fait construire sa propriété de style mauresque sobre, Bou Saf Saf. S’y ajoutent son atelier et ses hectares de jardin. Là, il s’adonne à la peinture, à la maroquinerie, à la menuiserie jusqu’à ce qu’un accident et un divorce viennent morceler sa vie. Une vie qui partira en exil dans son propre pays, la France pour y rendre son dernier soupir en 1962.

©Jacques Majorelle

©Jacques Majorelle

©Jacques Majorelle

1JOUR1PHOTO*31.10.13

Photo : Simon Waterhouse

29.10.13

DANS LA CUISINE... Mumbaï - Marrakech


Outre flâner dans les souks de Marrakech
nous aimons arpenter les "bazars" où que nous allions… 
Ici, de la vaisselle en aluminium martelé 
trouvée dans les bazars de Mumbaï


©Dar Kawa

©Dar Kawa

En Inde, cette vaisselle est regardée et utilisée uniquement 
par les gens qui n'ont pas les moyens de s'acheter des ustensiles plus "beaux", plus "robustes", plus … , plus … 

Nous, ce sont les contenants que nous préférons et pour rien au monde nous ne voulons acheter de la vaisselle plus…, plus …, plus … 

©Dar Kawa

©Dar Kawa


A moins qu'elle soit en argent, 
comme au temps des maharajas ! 


©Dar Kawa

1JOUR1PHOTO*29.10.13

©Dar Kawa

26.10.13

SHOPPING... Un châle tissé et feutré


Enfin une nouveauté dans le souk de Marrakech. 
Un simple châle en coton teint et feutré. 
Le résultat est intéressant. 

©Dar Kawa

©Dar Kawa

©Dar Kawa

Côté pratique… Le vendeur explique : 
"Madame, pour le nettoyage, tu te mets à genoux par terre, tu prends une grande planche et du savon noir, tu frottes doucement avec le savon et un peu d'eau et puis tu rinces." 

Mais l'idée est jolie néanmoins et le nettoyage à sec fonctionne peut-être… 

1JOUR1PHOTO*26.10.13

©Valérie Chaptal

22.10.13

FOOD... Les confitures "homemade"


Les confitures maison de Saïda, notre cuisinière, 
vous seront servies au petit déjeuner à Dar Kawa

Changement de saison, changement de saveurs...

©Dar Kawa

Fraises, abricots, figues, oranges, oranges amères ...

©Dar Kawa

©Dar Kawa

©Dar Kawa

Côté shopping...
Les verres soufflés ont été achetés chez 33 Rue Majorelle,
Le plateau chiné dans le souk de Marrakech
Les cuillères en cuivre martelé achetées 
dans le bazar à Mumbaï.

1JOUR1PHOTO*22.10.13

©Dar Kawa

19.10.13

SHOPPING... Le temps des écharpes


Avec l'automne arrive le temps des écharpes, même à Marrakech.
Pour celles et ceux qui y vivent, pour celles et ceux qui y sont de passage…
Les écharpes A R C H I V E S sont en vente chez
33 Rue Majorelle à Marrakech.

©Archives

©Archives

©Archives

©Archives

1JOUR1PHOTO*19.10.13

©Peter Lindbergh

17.10.13

SAVOUREUX VOYAGE - Sandra cabazuelo Bertozzi


"Savoureux Voyages"
est un carnet de voyage
réalisé par Sandra Cabezuelo Bertozzi, 
suite à différents séjours à Marrakech au sein de 
la fondation Sahart. 

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

Dessins, souvenirs, pensées, recettes, ...
De la poésie, de l'humour, de la gourmandise ...
Un joli regard...

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

©Sandra Cabazuelo Bertozzi

Pour en savoir plus sur Sandra, suivez le lien :
 http://sandra-cabezuelo-bertozzi.com

1JOUR1PHOTO*17.10.13

©Lalla Essaydi

15.10.13

NO-MAD 97%INDIA - A Dar Kawa


No-Mad 97% India, 
une nouvelle marque est née...
Concept & design by Valérie Barkowski.

C'est à Marrakech, dans notre riad, 
que la marque No-Mad 97% India 
a fait son premier shooting photo.
Nous avons eu le privilège de pouvoir habiller nos canapés, 
en avant première ...

photo ©Dar Kawa



Quand No-Mad va chercher à l’ouest la finesse et le savoir-faire, elle s’inspire de la broderie de Fez. 
Un artisanat entièrement réinterprété.


photo ©Dar Kawa


Elle fascine tant elle est précise… la broderie faite à la main orne l’histoire de multiples cultures. Parmi celles-ci, il en est une qui a poussé l’art à l’extrême : le Maroc et sa broderie de Fez. 
Si cette minutie est née dans le nord du pays, elle est aujourd’hui largement répandue dans d’autres villes alentours. Des doigts des femmes éclosent des motifs brodés de manière identique à l’endroit comme à l’envers du tissu. Certains pourraient y voir une étoile, protectrice peut-être pour les jeunes femmes qui en décoraient leurs trousseaux de mariage.

Tissée en fil de coton ou de soie végétale, la broderie est encore et toujours valorisée même si le travail s’effectue plus souvent à la machine. Un artisanat précieux, fin dont No-Mad reste ébloui tant et si bien que la marque a aimé tisser un lien entre l’Inde et le Maroc. Partant de cette broderie, un produit totalement différent est né. Si le motif est resté intact, la technique utilisée diffère. No-Mad a choisi d’imprimer au bloc sur une pièce de lin avant de rebroder le dessin, tantôt à la machine, 
tantôt à la main. Naissent des tissus ornés avec finesse, épousant les idées d’ici et d’ailleurs pour s’intégrer presque naturellement dans la culture indienne.


photo ©Dar Kawa

photo ©Dar Kawa


www.no-mad.in, bientôt en ligne